Pierrot avait un complice, la lune. Il aimait Colombine, mais il n’avait pas la force suffisante pour lui dire, pour lui parler de ses sentiments qu’il avait dans son coeur. La nuit quand colombine dormait Pierrot restait en face de sa fenêtre, pendant que son pain prenait la consistance nécessaire avant d’être mis au feu. Pierrot avait des pensées érotiques, il pensait que ses désirs pouvaient la mettre en colère, mais la réalité était complément différente parce que Colombine aussi avait le besoin, de avoir un amant, un homme qui pourrait lui faire sentir des émotions propres de l’amour, mais Pierrot était trop timide, il n’allait jamais devenir cette personne, cet homme dont Colombine avait besoin.
Pierrot ne imaginait pas que les jours suivants arriverait quelqu’un autre dans la vie de Colombine un homme différant, extravagant, un homme avec une personnalité différent de la sienne (gai, sympathique, extrovertie), avec une façon d’être que les femmes comme Colombine aiment.
Moises Garcia,
groupe 403, mais 401.
9 commentaires:
Une description très belle!! Ton dessin c'est bon
Salut Moises, simplement magnifique !!! Il y a d'accidents heureux ou malheureux, de rencontres et de séparations... Les soubresauts des jours. C'est ainsi la vie...
Je pense que c'est très émouvant
Un tableau très émotif, Colombine dorms comme un ange.
Très beau ton dessin, j'aime la lune tu l'as dessinée très belle.
Arlen Hernández Díaz
Merci beaucoup à tout le monde par votre temps et par les commentaires.
Moises, Je pense que c’est émouvant, et bien décrit comme tu as résume l’histoire des deux rendues.Beau dessine..
Moy, que bon travail, belle interprétation l'histoire et le dessin joli et très émotif.
bonne chance
Andrea
J’aime comme tu as décrit la nuance des sentiments et des rêves qui Colombine et Pierrot ont dans leurs vies. Ton écrit c'est magnifique et ton dessin c'est intéressant, particulièrement la petite fenêtre.
tatyana reza
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