vendredi 29 juin 2007

Des Images


Pierrot et Colombine _______________ Paul en Pierrot par Pablo Picasso.

L'éternel trio issu de la Commedia dell'arte - Pierrot, Colombine et Arlequin - est
réinterprété par Michel Tournier dans un conte illustré par les images au style naïf de
Danièle Bour.
Pierrot, le boulanger aime Colombine la


blanchisseuse dans ce village breton où tous
imaginaient qu’ils se marieraient. Mais Colombine aime le jour, le soleil et les fleurs
alors que Pierrot vit la nuit entre sa cave et son four. Pierrot, au

visage lunaire, aime
écrire à la chandelle des lettres qu’il n’envoie pas. Les élèves auront certainement
plaisir à les imaginer surtout s’ils ont lu par ailleurs Rendez-vous n’importe où de
Thomas Scotto (Th. Magnier) ; il connaît la lune et « les secrets de la nuit ». Arrive
un jour dans le village la roulotte d’Arlequin peintre en bâtiment. Le beau parleur
conquiert sans difficulté la blanchisserie qu’il transforme en teinturerie et le coeur de
la blanchisseuse. Colombine et Arlequin partent en voyages de noces. L’automne
arrive, le bonheur des amants s’étiole et quand la neige tombe, Colombine pense de
plus en plus à son Pierrot lunaire. Une lettre la décide à le rejoindre car Pierrot lui
explique les couleurs vraies de la nuit et de sa vie.
À ce stade du récit, on pourra demander aux élèves de terminer l’histoire afin de
pouvoir revenir ensuite sur les éléments symboliques méthodiquement semés dans le

texte par l’auteur et qui permettent de comprendre la fin choisie. À travers le
vocabulaire des couleurs et des saisons, les significations se dessinent puis
s’opposent. Les couleurs affriolantes d’Arlequin en été perdent de leur superbe dès
l’automne et font pitié sous la neige…
La chanson fort connue Au clair de la lune, chantée ici par Arlequin, trouvera une
nouvelle interprétation : on pourra la mettre en relation avec la version illustrée par
Philippe Dumas (L’école des loisirs).
Renouant avec la tradition de la Commedia dell'arte, les élèves pourront jouer une ou
plusieurs scènes qu’ils auront réécrites ou inventer d’autres récits avec ces trois
personnages archétypaux grâce à des marottes d’Arlequin, Colombine et Pierrot qu’ils
auront fabriquées ; voir pour cela Un amour de Colombine Elzbieta (Pastel).

mardi 19 juin 2007


Pablo León Hernández
Francés 403
Pierrot
Le dessin c’est une métaphore des trois personnages : Colombine, Pierrot et Arlequin. Alors, il y a trois différents ambiances qui représentent les goûts et les éléments caractéristiques de chacun.

La première partie c’est pour Colombine. Elle travaille pendant le jour, donc, elle aime le soleil et le blanc est le couleur prédominant. La deuxième partie est très colorée pour ressenbler Arlequin avec ses cheveux rouges. Dans ce cas, Arlequin sépare Colombine et Pierrot.

Alors, la dernière partie est dediée à la lune et à la nuit qui n’est pas noir, mais c’est bleu marine, comme Pierrot le dit dans la lecture : « écoute bien ces merveilleux secrets : Ma nuit n’est pas noire, elle est bleue ! Et c’est un bleu qu’on respire. »

Pierrot Ou Les Secrets de la Nuit

Pour moi la description de Pierrot et de la nuit était très intéressante, parce qu’il a vu dans la tranquillité de la nuit tous ces petits détails que les autres gens ne peuvent pas voir, comme Colombine qui préfère être cachée sous sa couette.

Dans la description nous pouvons imaginer un jeune homme très romantique et nous pouvons voir la façon comment il a adoré Colombine, tandis que Colombine dans son monde blanc n’y a pas de place pour les couleurs, surtout le noir, sans comprendre que dans l’obscurité tout n’est pas noir.

Pierrot qui a vécu le jour et la nuit, mais a cause de son travail, il a préféré aimer la nuit sans oublier Colombine, la plus belle du jour.

Rosalía Villa Muñoz

Groupe 401

lundi 18 juin 2007

Pierrot ou les secrets de la nuit
Michel Tournier



C'est Colombine. Sa vie, son visage et son existence sont divisés… elle doit choisir. Les journées sont les pièces d'un puzzle coloré et les nuits, soupirent des mots à l'oreille de la jeune fille.
Le matin ou la nuit? Le jeu ou la mélancolie? Le couleur ou les mots? Un jeu des mots? Non, un jeu de vie. La tristesse et la solitude de Colombine. Où sont ses oiseaux et ses fleurs?
Elle doit choisir et ne sera plus elle-même.
Elle dira –Bonjour! Je suis femme arlequin. Je ne suis plus Colombine!
Ou bien –Bonsoir! Je suis dame Pierrot et Colombine n'est plus mon prénom!
Pourquoi ne peut pas elle être seulement Colombine? Parce qu'elle est la page blanche où l'amour veut se concrétiser. Quelquefois, elle doit choisir et elle disparaîtra au matin ou pendant la nuit.


Antonieta Martínez Guerrero

Arlequin et Colombine


Georgette Alfaro Victoria

dimanche 17 juin 2007

« Arlequin et Colombine !


« Arlequin et Colombine !

Ce dessin représente le moment où colombine convive et l´arlequin sont ensemble.
Cette étape me semble transcendantale dans l´histoire parce qu´il montre un changement de la vie de Colombine.
Je crois que c´est un partie de la folie et couleur est harmonisés métaphoriquement. Dans cette étape le livre attrape le lecteur avec la trame jusqu´à l´extrémité pour laisser voir une image claire à nos yeux.
J´ai considère que le fin du livre être plus importante que mon actuel schéma, mais beaucoup de fois on pense au début et comme d´habitude ne est pas la meilleure partie au contenu.
Par rapport à le contenir du livre je crois que c´est une histoire pour imaginer et penser en vie et des changes. On ne sait pas quand est-ce que on va changer d´opinion et décider autre option de la vie que est représente par les étoilés et la lune.
Finalement, j´ai considère que le schéma est plus coloré avec l´arlequin.

« Arlequin et Colombine !

Un Dessin, une Histoire…
Pierrot, Colombine et Arlequin

Pour: Luis Fernando Díaz Avalos



L´Histoire que chante la mère au petit enfant est la même qui je fais sur ce papier. La Lune regarde toute la nuit le travail de Pierrot le boulanger qui fait pâte pendant que pleure plus et plus, la couleur bleu et noir enveloppe . Pierrot se souvient quand il avait regardé par la fenêtre et voyait la blanchisserie de Colombine, ils ne se sours jamais les sentiments qui sortaient de leurs coeurs, mais le toxique et trompeur amour est arrivé un jour avec le arc-en-ciel qui est tombé et a frappé á la porte de Colomobine : « il y avait lá toutes les couleurs – jaune, vert, bleu, violet, orangé-, plus quelques autres encore , mais aucun losange n´etait blanc ni noir » il etait Arlequin. Le Soleil etait le seule qui regardait les toits de la ville les méchantes intentions de Arlequin qui a parlé, menti et a ébloui la blanchisseuse. La Lune et le Soleil pleurent et voient partir les nouveaux amants ; Pierrot ouvre les yeux, il pense à Colombine, il y a quelque chose qui n´ est plus lá, oú es-tu Colombine ? se demande il, mais il n´ y a pas réponse. Cette nuit il a écrit la plus triste lettre qui jamais avaient fait : « Colombine ! Ne m´abandonne pas ! Ne te laisse pas séduire par les couleurs chimiques et superficielles d´Arlequin ! (...) Je t´aime et je t´attends, Pierrot. », la signature est faite avec peines.
La mère chante cette histoire, que enfants écoutent chaque nuit et aussi chantent avec leur mère : « Au clair de la lune, Mon ami Pierrot !, Prête-moi ta plume, Pour écrire un mot. Ma chandelle est morte, Je nái plus de feu. Ouvre-moi ta porte, Pour l´amour de Dieu ! »

mercredi 13 juin 2007

La magie des couleurs


Arlen Hernández Díaz

Mon dessin représente la sequense du conte quand Colombine arrive chez Pierrot. Elle rentre dans les fournil de Pierrot aprés avoir tout quitté pour partir avec Arlequin. Aprés que Colombine soit avec Arlequin, elle réalise que rien n’est comme elle l’avait imaginé et jusqu’au moment où elle trouve une lettre que Pierrot a ecrite. Dans la lettre il lui dit qu’il l’aime et que ses nuits ne sont pas noires ni menaçantes mais bleues et dorées grâce au feu de son four.
Colombine découvre que Pierrot l’aime et que ses nuits ont de jolies couleurs, elle décide de retourner à Pouldreuzic pour voir les couleurs, le feu et Pierrot. Quand Colombine entre chez Pierrot il est assied par terre, “tapi dans un coin”, et très triste, il s’aperçoit que Colombine lui sourit.
Sur mon dessin Colombine regarde le feu parce que dans le conte on dit que ça c’est la première chose qu’elle a regardé quand elle est entrée dans le fournil. Elle est hypnotisée par le feu parce qu’elle se souvient de ce que Pierrot lui a decrit dans la lettre. J’ai dessiné la robe de Colombine avec des couleurs peu brillantes et décolorées parce que le conte dit qu’ ells se ont effacées à cause de la peinture superficielle avec la quelle Arlequin les a peintes.
Les couleurs, bleue et doré aussi sont très importantes dans mon dessin que dans le conte, c’est grâce à elles que Colombine et Pierrot se retrouvent. C’est pour cela que la lune et le feu sont deux figures importantes dans mon dessin parce qu’ils representent les deux couleurs qui rendent la nuit de Pierrot si spéciale et qui ont changé la perception que Colombine avait de la nuit.

lundi 11 juin 2007



Fernanda Morales de la Cerda

Pierrot et Colombine sont amis d´enfance, leur amitié est devénue presque de l´amour. Pierrot aime Colombine, mais elle n´aime plus la nuit ni á Pierrot. Elle est fatiguée, ils se separent de tour en tour. Elle aperçoit qu´ils n´ont pas les mêmes goûts, et finalment la nuit les a separé.

C´est pour ça qu´elle a decidé quitter son village pour essayer une nouvelle vie avec Arlequin qui est trés coloré á l´extérieur, mais finalmente Colombine découvrit sa vrai identité et aussi son côté obscure.

Le pauvre Pierrot ne comprend pas pourquoi est qu´elle est partie. Il pensait toujours a Colombine et c´est pour ça qu´il exprime sa façon de voir la nuit et la vie dans une lettre qu´il lui a envoyé. D´une maniére profonde et significative, Pierrot explique a Colombine tous les coleurs de la nuit et sa beauté incroyable.

Finalment Colombine est rentrée á son ville por chercher Pierrot, mais elle etait en compagnie d´Arlequin alors ils vont partager une “Colombine briocheé” signification de que peut être ils puissent vivre heureux les trois ensemble.

vendredi 8 juin 2007

Dans ce paysage glacé


Elle marche, marche, marche, la petite Colombine-Arlequine dont la robe a perdu ses brillantes couleurs sans être redevenue blanche pour autant. Elle fuit dans la neige qui fait un doux frou-frou froissé sous ses pieds et frôle ses oreilles: fuite-frou-fuite-frou-fuite-frou... Bientôt elle voit dans sa tête une quantité des mots en F qui se rasemblent en une sombre armée, des mots méchants: froid, fer, faim, folie, fantôme, faiblesse. Elle va tomber par terre, la pauvre Colombine, mais heureusement un essaim de mots en F également, des mots fraternels, vient à son secours, comme envoyés par Pierrot: fumée, force, fleur, feu, farine, fournil, flambée, festin, féerie...


CELE 401. Oscar Lugo de la Fuente

lundi 4 juin 2007

Pierrot en aimant la lune.

Pierrot avait un complice, la lune. Il aimait Colombine, mais il n’avait pas la force suffisante pour lui dire, pour lui parler de ses sentiments qu’il avait dans son coeur. La nuit quand colombine dormait Pierrot restait en face de sa fenêtre, pendant que son pain prenait la consistance nécessaire avant d’être mis au feu. Pierrot avait des pensées érotiques, il pensait que ses désirs pouvaient la mettre en colère, mais la réalité était complément différente parce que Colombine aussi avait le besoin, de avoir un amant, un homme qui pourrait lui faire sentir des émotions propres de l’amour, mais Pierrot était trop timide, il n’allait jamais devenir cette personne, cet homme dont Colombine avait besoin.

Pierrot ne imaginait pas que les jours suivants arriverait quelqu’un autre dans la vie de Colombine un homme différant, extravagant, un homme avec une personnalité différent de la sienne (gai, sympathique, extrovertie), avec une façon d’être que les femmes comme Colombine aiment.

Moises Garcia,

groupe 403, mais 401.

Une Colombine Arlequine





Arlequin est en train de finir sa nouvelle œuvre d’art, il ajoute le dernier détail à la façade de Colombine. Colombine est très heureuse parce qu’elle adore les couleurs du jour et elle les a maintenant sur sa façade: les couleurs de l’arc-en-ciel plus quelques autres; elle s’était laissée séduire par les couleurs d’Arlequin.
À la fenêtre, il y a une Colombine portant sur sa tête sa corbeille de linge et une robe de petits losanges multicolores ; autour de cette Colombine arlequine, il y a des nuages bariolés, elle est comme si elle était dans un rêve. Envoûtée par toutes ces couleurs elle a oublié son ami Pierrot, elle pense qu’elle aime Arlequin, mais son cœur n’est pas très sûr, il y a une partie de cette Colombine Arlequine qui est encore en blanche, montrant la Colombine originale, celle qui aime Pierrot. La blanchisserie est maintenant teinturerie aussi, et les arbres, les fleurs et le ciel sont tous colorés : part où que arlequin passe, tout devient bariolé, mais le cœur de Colombine est un trop difficile, au fond il est blanc...


Gisela Durán

Pierrot et le clair de la lune


Cette nuit la lune est pleine,
grande et claire
comme les yeux de celle
qui n’aime que le soleil.
En face, elle dort
pelotonnée sous la couette de l’obscurité.
Pierre a ses grands yeux ronds ouverts
sur le sommeil de celle qu’il aime
Et il devient son veilleur,
le gardien des rêves de fleurs,
d’été et d’oiseaux.
Il ne sait pas faire autre chose,
pendant que la pâte repose
dans le fournil.
Cette nuit, un éclat colore les collines,
le ciel est plein d’étoiles
et il se demande si ce paysage est aussi beau
que le corps de son amour.
Cette nuit la rivière chante plus haute
et plus belle, une belle berceuse pour elle.
Cette nuit, la fraîcheur de la mer est plus odorante,
Et il se demande si cette odeur
qui flotte est celle d’une joue
ou de la respiration tranquille de celle qu’il aime.
Au clair de la lune cet effronté aussi rêve
au jour qu’elle viendra à lui.


Adrián Blancas
401

Pierrot ou les secrets de la nuit


J’ai dessinée cette scène parce que je pense que Pierrot détestait ce nouveau bâtiment plein de différentes couleurs qui lui faisait mal aux yeux, mais qu'Arlequin et Colombine avaient peint avec beaucoup de plaisir. Pierrot pensait aussi que la pancarte était horrible; et, surtout, que Colombine l’avait trahi parce qu’elle s'était enfui avec Arlequin et elle avait refusé d’être avec Pierrot. Il haïssait toutes les couleurs qui étaient brillantes, parce qu’il croyait que les couleurs les plus belles étaient : le bleu du ciel de la nuit, le rouge et l’orange de son four et le jaune de la lune, qui était sa meilleure amie quand il était tout seul. Colombine ne comprenait pas toute la beauté du monde de Pierrot, et ça le rendait triste. Peut-être, quand il a fermé sa boulangerie pendant qu'Arlequin et Colombine se sont échappés, il a pensait que tout était perdu, mais il savait qu’il devait faire du pain pour le village et que cela était très important pour les autres. C’est pour cela qu’il a rouvert sa boulangerie et il était là quand Colombine est revenue au village.

Jannia T. Martínez
401

Ce lieu m’a surpris!!!



Je ne savais pas quoi dire!!!
Ce lieu m’a surpris!!!
Je ne pouvais pas imaginer que derrière cette porte, je pourrais trouver la paix, la fraternité et la tranquillité, et aussi l’amour d’un homme qui à la couleur que je cherche.

Quand je suis partie, je pensais que ma vie était parfaite, que j’avais trouvé l’homme de ma vie. Et je me suis trompé.
Les jours passent, on commence à connaître les gens !!! Quelle désillusion !
Au début, tout allait bien, mais après quelques jours, la vérité a commencé apparaitre et la couleur et le brillant ont disparu. Ma vie a commencé être pâle et triste.
Je me suis souviens de mon voisin le boulanger et j’étais contente de ce que je faisais, blanchisseuse.
J’ai pris la décision de retourner chez moi et de le chercher.
En face de ce four, j’ai pu revivre !! Ce feu m’a donné la force, l’espoir, des couleurs à ma vie.
J’ai pu sentir à nouveau les rires, la musique, la danse autour de moi. Tous ceux qui m’accompagnaient auparavant.
J’ai pu aussi retrouver la derrière image pâle du boulanger, mais aussi le feu et la qualité humaine dont j’avais besoin.

Catalina Ferat Toscano
401

Au dessous d’un arbre



Ce dessin représente plusieurs scènes de l’histoire de Pierrot et Colombine.

Tout d’abord nous pouvons voir à Pierrot au pied d’un arbre, dans la nuit, pendant Colombine dort pelotonner dans sa couette. La nuit n’est pas comme Colombine l’imagine, ce n’est pas une obscurité peuplée de bêtes; mais elle est bleue, pleine d’étoiles blanches, et aussi la lune, sa grand amie.
Pendant qu’ il écrivait une lettre pour Colombine une lettre où il lui a écrit ses sentiments plus profondes, la lune éclairait, il aimait écrire, ici est avec une plume, dans cette lettre il lui écrivait l’amour qu’il avait pour elle, mais toutes ces lettres il ne les envoyait jamais. À côté de lui son chat, un fidèle compagnon de la nuit.

Toutes les nuits il admirait Colombine à travers la fenêtre qui était fermée tous les jours, il la voyait, il l’imaginait nue, soupirant et rêvant dans son lit.



Andrea Escoto Alvarez

Pierrot, Colombine et Arlequin


Pierrot le boulanger aimait la nuit, la lune, les étoiles et le silence. Son métier le faisait ressembler à une chouette. Sa voisine Colombine lui plaisait, il l’écrivait de longues lettres qu’elle n’a jamais reçues. Même s’ils avaient grandi ensemble, Pierrot et Colombine ne se parlaient guère parce qu’elle était blanchisseuse et travaillait lorsqu’il dormait. Pourtant, leurs vies ont changé quand Arlequin, peintre en bâtiment, est arrivé au village. Avec un costume bariolé, Arlequin a impressionné Colombine, toujours entourée de blanc.

Dans l’image à côté, on peut apprécié le moment terrible, le soir malheureux dont on parlerait pendant longtemps. La maison de Colombine, autrefois blanche, était peinte de toutes les lumières de l’arc-en-ciel. Pierrot était sorti de chez lui et avait trouvé un étrange échafaudage au pied du balcon de son aimée. Il y est monté et y a découvert un mélange inexprimable.

Eduardo Villegas

Pierrot ou les secrets de la nuit



L´histoire de Pierrot et Colombine à commencé depuis leur enfance. Ils allaient ensemble à l´école mais il avait un petit problème parce que Pierrot était Boulangerie et Colombine Blanchisseuse.

Ce dessin exprime la façon de vie de deux personnages. Il y a deux maison, celle de Pierrot qui est sombre, opaque et très désordonnée pendant que la maison de colombine est blanche et agréable. Leurs maisons indiquent que Pierrot travaille la nuit et que Colombine travaille le jour.

Colombine avait un jardin parce qu´elle adorait le soleil, les oiseaux et les fleurs et Pierrot était heureux en compagnie de la lune et des chauves-souris. Finalement, pendant l´histoire ils auront beaucoup de surprises et d´aventures.

dimanche 3 juin 2007

Pierrot, Colombine et le pievures.


Finalement, Pierrot a décidé d´aller chez Colombine, il était très nerveux. Que ferait Colombine si elle le voyait à la frenêtre? Elle criait quand Pierrot l´observait a houers travers a fenêtre ou elle courrait dans ses bras? Oh, désillusion!
Pierrot n´avait jamais imaginé souffrir cette désillusion! Colombine, sa Colombine était dans les bras d´un homme...
Un homme roux, qu´il s´appellait Arlequin un peintre qui avait profané le sanctuaire de sa vierge Colombine car Colombine habitait une maison blanche colorée de ses impures peintures.
Imupuissant Pierrot observait comment Colombine et Arlequin s´amusaient; ils jouaient. Pierrot n´avait jamais joué de jeux d´adultes que Colombine et Arlequin jouaient devant ses yeux.
Arlequin ses bras de pievures sur la belle Colombine comme un petit oiseau. Et Pierrot comme un croissant que les chiens, les rats n´oseraient mangeaient.
Pierrot confus, envahi par la tristesse tombe de l´échafaudage qu´Arlequin utilisait pour peindre. Les croissants chauds, les vêtements fraichement repassés et les peintures infernales tournait dans sa tête, Pierrot seulement se rappelait des joues de Colombine dans la douleur de sa chute.

Tavata Servin.

G. 401

Pierrot et Colombine


J’ai choisi l’image où Pierrot découvre Colombine avec Arlequin à l’intérieur de la Blanchisserie, car je pense que c’est un point très important de l’histoire. Il est peut-être le moment où Colombine décide partir avec Arlequin.
J’ai dessiné la moitié du dessin avec des couleurs parce qu’Arlequin avait peint la Blanchisserie avec beaucoup de couleurs et il avait mis le mot « Teinturerie ». Il a aussi convaincu Colombine de s’habiller de vêtements brillants, différents des vêtements blancs qu’elle portait avant.
L’autre moitié et en blanc et noir parce que Pierrot portait des vêtements blancs, mais aussi pour faire une division entre les différentes humeurs des personnages : Pierrot était très triste en même temps la gaîté envahissait Colombine et Arlequin.
Je peux imaginer la tristesse qu’a sentie Pierrot au moment où il a vu la femme qu’il aimait entre les bras d’autre homme et aussi le désespoir de ne rien pouvoir faire. Par contre, Colombine était heureuse et impressionnée par toutes les choses qu’Arlequin promettait avec son bonheur et ses jolis vêtements. Mais le temps changerait le cours de l’histoire.
Mariana Domínguez Batis
Grupe: 401

samedi 2 juin 2007

PIERROT OU LES SECRETS DE LA NUIT



PIERROT OU LES SECRETS DE LA NUIT

J´ai choisi la scène quand Colombine et Arlequin vont partir, parce que
J´aimée la nouvelle apparence de Colombine.

Colombine n´avait plus sa robe blanche habituelle. Elle avait une robe faite
de petits losanges de couleur, de toutes des couleurs, mais sans noir ni
blanc. Elle était devenue une Arlequine.

Le soleil brillait, il faisait chaud, Arlequin était gai et il chantait du matin
au soir, Ils étaient heureux, Ils dansaient autour de la maison,
Il lui a proposé de partir au pays des mille soleils, et lui a promis
merveilles ; elle l´a cru et l´a suivi.

A la porte de la maison Il a accroché une pancarte qui disait
« FERMÉE POUR CAUSE DE VOYAGE DE NOCES «

À mon avis cette scène est la plus romantique .


Leticia Velázquez Flores
23 avril 2007
Groupe 401

vendredi 1 juin 2007

Colombine

Fernando Ibarra
Colombine :
Devant cette chandelle c’est moi une autre fois qui t’écris une lettre, mais cette fois ce ne sera pas une lettre amoureuse comme les autres, mais une réflexion de mon rôle dans ta vie et de mon futur dans cette boulangerie en attendant qu’un jour tu puisses t’apercevoir de la nullité de ma présence.
La lune brille pour tous. Elle est généreuse avec les gens qui se sentent tristes ou solitaires, mais la lumière de tes yeux n’allume pas mon âme qui reste toujours couverte de farine humide à cause des larmes et de la sueur d’un homme qui pleure et travaille pour échapper de la cruauté de son destin.
Je te vois, je t’imagine et j’attrape ton image pour la renfermer dans mon coeur qui bat comme un oiseau blessé. La nuit après avoir achevé mon travail, quand la lune vient à me tenir compagnie, je sors ton image de mon intérieur et je commence à te dessiner sur les draps de mon lit avec une poignée de sucre blanc et doux comme toi : tes yeux sont deux morceaux de chocolat, ta bouche est une fraise, et ta peau –avec deux petites cerises sur ton sein– est l’étoffe tiède. Après, tout nu, je commence à t’embrasser jusqu’au moment où mes lèvres se remplissent de sucre ; alors je les morde avant recommencer. Les fruits je les mange délicatement. Je ne peux pas ouvrir les yeux à ces moments-là parce que j’ai besoin de sentir que tu es ici pleine de tendresse, entre mes bras, dans mon lit, dans ma nuit. Je soupire et je dors. C’est tout ce qui passe quand tu te reposes.
Le jour suivant, je dois t’apporter mes draps sales et tu les laves sans imaginer que tu effaces mon amour avec de l’eau savonnée, mais je suis content parce que je sais que tu dois toucher –involontairement- ce petit bout de coeur qui se détache de mon corps chaque fois que nous passons la nuit ensemble.
Ton amant éternel
Pierrot le boulanger

Les enchantements de Pierrot


J’ai dessiné la scène quand Pierrot était très concentré dans sa maison pour commencer à écrire. Ces choses sont un mélange de l´histoire que nous avons lue.

Pierrot était un enfant sérieux et solitaire. Il était aimé de sa voisine Colombie. C’était une très jolie femme et Pierrot la connaissait bien, mais il ne lui parlait jamais parce qu’il dormait pendant la journée et travaillait la nuit, au contraire Colombine qui dormait la nuit et faisait ses activités pendant la journée. Il s’inspirait pour écrire la nuit quand il sentait l’odeur dorée du pain au four. La plume qu’il utilisait était très ancienne, mais c’était son outil de travail.

Les astres, qu’il voyait par la fenêtre, et sa muse lui servaient d’inspiration pour l’enfant et toutes les choses qu’il s’imaginait sont derrière la porte, tandis que Colombine repose. Il se concentrait pour écrire ses pensées séduisantes. Il appréciait les étoiles et la lune. La lune éclairait avec sa lumière qui illuminait à l’intérieur de sa maison. Pierrot a construit un personnage très sympathique : « un arlequin ». Je pense que ce personnage réjouissant était lui même. Cette histoire était très intéressante.

MENDOZA URIBE SONIA

Groupe 403

jeudi 31 mai 2007

La scène la plus jolie de l´histoire du livre




Mancera Martínez Eder Alberto
La scène la plus jolie de l´histoire du livre




Pour moi, la scène le plus jolie du conte c´est quand Colombine et Arlequin traversent des forêts de bois mort et des champs noirs. Toute la nuit le ciel s´était empli de flocons voltigeants. Quand le jour se lèvait, la neige recouvrait toute la campagne, la route et même la roulotte. C´est le grand triomphe du blanc, le triomphe de Pierrot.


A mon avis cette scène c´est la revendication de Pierrot, de loin il a eu le povouir pour que Colombine puisse réfléchir sur sa relation. La niege et les flocons c´étaient un message qui montrait la force de l´amour de Pierrot et aussi c´était une analogie à fin que nous puissions comprendre que la obscurité de Pierrot était seulement à l’extérieur et dans son coeur il y avait la même blancheur de Colombine.


Pour moi, cette scène est très jolie parce que elle nous fait penser que c´est nécessaire de regarder à l´intérieur pour que nous identifiions l´essence de chaque personne.


Ce dessin est la représentation de la boulangerie de Pierrot (blanche et sérieuse, comme son boulanger qui aimait la nuit) et la blanchisserie de Colombine (gaie et pleine des fleurs colorées, comme sa blanchisseuse qui aimait le soleil, les oiseaux, la nature et le jour).

Ces maisons sont l’une en face de l’autre, mais entre les deux il y a la charrette du peintre Arlequin. Il s’est entremis, comme sa charrette, entre Colombine et Pierrot.

C’est le moment où Arlequin avait déjà fini de peindre la blanchisserie et lui et Colombine, décidaient de partir en voyage de noces.

mercredi 30 mai 2007

Pierrot et Colombine; la lune et le soleil


Jaime Echeverría García
Groupe 401
Une des caractéristiques de la pensée humaine est la classification des choses en oppositions: masculin/féminin, chaleur/froid, jour/nuit. Généralement, l´homme est associé avec le jour, le soleil et la chaleur; la femme avec la nuit, la lune et le froid, mais avec Pierrot et Colombine la situation est contraire: Pierrot est du coté de la nuit et Colombine du jour.
On ne peut penser aux personnages qu´à partir d´oppositions. Pierrot est un garçon sérieux qui aime la nuit, et principalement la lune, sa sœur, son amie, sa confidente. Il fait du pain pendant la nuit, c´est la raison pour laquelle il dort quand tous les autres travaillent et il travaille quand tout le monde dort. Colombine est l´opposé. Elle aime la couleur blanche et le soleil; elle travaille pendant le jour et elle dort la nuit.
Pierrot était tombé amoureux de Colombine depuis ils étaient des enfants, mais il y avait un petit détail: elle n´était pas intéressée à son ancien ami, car il évoquait «pour elle toutes sortes de choses déplaisantes». Elle ne le savait pas, mais ces détails l´avaient conquis et elle était tombée amoureuse de Pierrot.
Était-ce possible que Colombine est vraiment intéressé par Pierrot? Il y avait beaucoup de détails qui les séparaient; il y avait aussi un deuxième homme intéressé: Arlequin. Mais il ressemblait à Colombine, il portait beaucoup de couleurs, il aimait danser et chanter, ces caractéristiques particulières ont séduit Colombine. Cependant, l´amour vrai n´était pas encore arrivé. Le cœur de Colombine attendait Pierrot sans qu´elle le sache.
Arlequin semble être le personnage qui s´infiltre entre les deux personnes, mais il est en train d´accomplir sa tâche: que Colombine se rende compte de l´amour de Pierrot. Alors, les oppositions vont s´unir, le soleil et la lune sont déjà deux choses réconciliables. Pierrot n´était pas seulement un homme froid et obscure, il était un homme qui produisait de la chaleur, sommations du pain que tous les gens mangeaient. Et surtout le pain chaud en la forme de Colombine a réuni les trois personnages.



La tragédie amoureuse de Pierrot


Parfois on croit connaître à l’extérieur de nos proches, mais on peut se surprendre quand ce n’est pas ainsi. Pierrot croyait que son aimée Colombine l’attendrait toujours mais quelqu’un est apparu et s’est interposé entre eux: Arlequin avec sa jolie crête colorée, celui-ci a convaincu son amante pour changer ses façades chagrinées: une de sa maison et l’autre de sa personnalité. Sa maison remplie de losanges de couleurs et son visage plein de sourires. Celui ne pouvait être vrai et Pierrot devait se détromper de l’idée par lui même… ¿comment? ¡épiant les secrets de la nuit par la fenêtre de Colombine!
Quand on souffre une grande impression le monde s’arrête en une seconde qui semble éternelle… comme la sensation de notre personnage voyeur lorsqu’il a vu de ses propres yeux -plus grands que ceux d’une chouette- Colombine et Arlequin embrassés et enlacés par un arc-en-ciel. ¡Pauvre Pierrot! Il est tombé de l’échafaudage qui l’a supporté et pendant qu’il tombait il pensait que l’amour peut nous changer mais seulement il le fait de façon permanente quand il est certain et profond –comme le sien- et pas trompeur et passager comme celui qu’Arlequin lui a offert à Colombine…

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Israel Bx (le pervers) du 403

LA NUIT ET UNE DECISION



La nuit, une petite chandelle et une lettre accompagnent Colombine, une nuit noire et triste pour elle parce qu’elle a découvert les sentiments de Pierrot, la lune pleure et la nuit qu’aime Pierrot crie l’immense tristesse qui l’envahit. C’était une nuit froide, le vent soufflait et les cheveux de Colombine dansaient au rythme du vent, le vent caressait doucement sa peau, elle pensait tout et simplement réfléchissait, pendant un instant la solitude l’a envahi, elle a eu peur parce que l’obscurité l’entourait, peu à peu des larmes ont coulé sur son visage, elle a mis de coté la lettre de Pierrot, le vent jouait avec la feuille et avec sa robe décolorée et un peu sale.
Colombine pleurait cette solitude, elle était fatiguée et son village lui manquait, la chandelle a commencé à s’éteindre, mais elle avait déjà pris une décision, à ce moment-là, la nuit s’est rendue compte de la situation le froid a cessé et le ciel noir commencé s’éclairer, elle a pressenti que Colombine avait pris une décision. La lune illuminée et aux les larmes asséchée. Elle a décidé de revenir dans son village et retrouver Pierrot
Reyes Flores Alejandra Ivette
Prof. Nicole Trocherie
Group: 401

mardi 29 mai 2007

Pierrot Lunaire


J’ai dessiné cette illustration de Pierrot Lunaire parce que j’ai beaucoup aimé ce passage de l'histoire.

Description

Pierrot est un boulanger triste qui vit dans le village de Pouldrezic et aime Colombine, son amie d'enfance. C’est une blanchisseuse jeune et très jolie qu’aime le jour, les fleurs, la lumière, et l’odeur du soleil dans son linge propre. Mais Pierrot aime la nuit, la LUNE, sa cave et son four à pain. Il aime aussi écrire - à la lumière d’une bougie - des lettres qu’il n’envoie pas.

Cette nuit, dans une atmosphère très mélancolique, il lui a écrit ses pensées plus intimes et profondes sur la lune et les secrets de la nuit. Il lui a raconté que sa nuit n’est pas noire, qu’elle est bleue et que elle chante. Que son ciel sombre est tout pétillant d'étoiles. Il lui a écrit aussi qu’il connaît très bien la lune. Il lui explique que la lune — Si belle et si mystérieuse — n’est pas seulement un disque blanc comme une assiette. Il lui dit qu’elle est comme une boule, comme une pomme ou comme une citrouille bien sculptée.

Il voudrait que Colombine puisse voir la lune, sa lune, comme il la voit.
Je pense que Pierrot considère la lune comme sa meilleure amie.

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Élève: Ana Irene Batis Muñoz
Group: 401
Professeur: Nicole Trocherie
Mardi 29 mai 2007

vendredi 18 mai 2007

Pierrot ou les secrets de la nuit de Michel Tournier


Chers éleves du 4ème niveau,è
Vous êtes tous bienvenus sur le blog "enavantlefrancaisaucele".
Dans le cadre du cours nous avons prévu, l'utilisation de ce blog pourque chacun de vous puisse profiter du texte que vous avez redigé, après la lecture que nous avons effectuée en classe pendant ce semestre.
j'aimerais que vous en profitiez au maximum!
Envoyez vos documents: votre redaction et votre dessin.
Lisez tous les documents que vos camarades ont rédigés.
Et Ensuite, écrivez un commentaire de quelques lignes sur ce que vous avez pensé de l'ensemble de l'activité que nous avons réalisée ensemble en classe.
Profiter de cet espace.
J'espère que vous amuserez pendant cette activité.

Merci pour votre enthousiame.

Votre professeur Nicole