vendredi 29 juin 2007
Des Images
Pierrot et Colombine _______________ Paul en Pierrot par Pablo Picasso.
L'éternel trio issu de la Commedia dell'arte - Pierrot, Colombine et Arlequin - est
réinterprété par Michel Tournier dans un conte illustré par les images au style naïf de
Danièle Bour.
Pierrot, le boulanger aime Colombine la
blanchisseuse dans ce village breton où tous
imaginaient qu’ils se marieraient. Mais Colombine aime le jour, le soleil et les fleurs
alors que Pierrot vit la nuit entre sa cave et son four. Pierrot, au
visage lunaire, aime
écrire à la chandelle des lettres qu’il n’envoie pas. Les élèves auront certainement
plaisir à les imaginer surtout s’ils ont lu par ailleurs Rendez-vous n’importe où de
Thomas Scotto (Th. Magnier) ; il connaît la lune et « les secrets de la nuit ». Arrive
un jour dans le village la roulotte d’Arlequin peintre en bâtiment. Le beau parleur
conquiert sans difficulté la blanchisserie qu’il transforme en teinturerie et le coeur de
la blanchisseuse. Colombine et Arlequin partent en voyages de noces. L’automne
arrive, le bonheur des amants s’étiole et quand la neige tombe, Colombine pense de
plus en plus à son Pierrot lunaire. Une lettre la décide à le rejoindre car Pierrot lui
explique les couleurs vraies de la nuit et de sa vie.
À ce stade du récit, on pourra demander aux élèves de terminer l’histoire afin de
pouvoir revenir ensuite sur les éléments symboliques méthodiquement semés dans le
texte par l’auteur et qui permettent de comprendre la fin choisie. À travers le
vocabulaire des couleurs et des saisons, les significations se dessinent puis
s’opposent. Les couleurs affriolantes d’Arlequin en été perdent de leur superbe dès
l’automne et font pitié sous la neige…
La chanson fort connue Au clair de la lune, chantée ici par Arlequin, trouvera une
nouvelle interprétation : on pourra la mettre en relation avec la version illustrée par
Philippe Dumas (L’école des loisirs).
Renouant avec la tradition de la Commedia dell'arte, les élèves pourront jouer une ou
plusieurs scènes qu’ils auront réécrites ou inventer d’autres récits avec ces trois
personnages archétypaux grâce à des marottes d’Arlequin, Colombine et Pierrot qu’ils
auront fabriquées ; voir pour cela Un amour de Colombine Elzbieta (Pastel).
mardi 19 juin 2007
Pablo León Hernández
Francés 403
Pierrot
Le dessin c’est une métaphore des trois personnages : Colombine, Pierrot et Arlequin. Alors, il y a trois différents ambiances qui représentent les goûts et les éléments caractéristiques de chacun.
La première partie c’est pour Colombine. Elle travaille pendant le jour, donc, elle aime le soleil et le blanc est le couleur prédominant. La deuxième partie est très colorée pour ressenbler Arlequin avec ses cheveux rouges. Dans ce cas, Arlequin sépare Colombine et Pierrot.
Alors, la dernière partie est dediée à la lune et à la nuit qui n’est pas noir, mais c’est bleu marine, comme Pierrot le dit dans la lecture : « écoute bien ces merveilleux secrets : Ma nuit n’est pas noire, elle est bleue ! Et c’est un bleu qu’on respire. »
Francés 403
Pierrot
Le dessin c’est une métaphore des trois personnages : Colombine, Pierrot et Arlequin. Alors, il y a trois différents ambiances qui représentent les goûts et les éléments caractéristiques de chacun.
La première partie c’est pour Colombine. Elle travaille pendant le jour, donc, elle aime le soleil et le blanc est le couleur prédominant. La deuxième partie est très colorée pour ressenbler Arlequin avec ses cheveux rouges. Dans ce cas, Arlequin sépare Colombine et Pierrot.
Alors, la dernière partie est dediée à la lune et à la nuit qui n’est pas noir, mais c’est bleu marine, comme Pierrot le dit dans la lecture : « écoute bien ces merveilleux secrets : Ma nuit n’est pas noire, elle est bleue ! Et c’est un bleu qu’on respire. »
Pierrot Ou Les Secrets de la Nuit
Pour moi la description de Pierrot et de la nuit était très intéressante, parce qu’il a vu dans la tranquillité de la nuit tous ces petits détails que les autres gens ne peuvent pas voir, comme Colombine qui préfère être cachée sous sa couette.
Dans la description nous pouvons imaginer un jeune homme très romantique et nous pouvons voir la façon comment il a adoré Colombine, tandis que Colombine dans son monde blanc n’y a pas de place pour les couleurs, surtout le noir, sans comprendre que dans l’obscurité tout n’est pas noir.
Pierrot qui a vécu le jour et la nuit, mais a cause de son travail, il a préféré aimer la nuit sans oublier Colombine, la plus belle du jour.
Rosalía Villa Muñoz
Groupe 401
lundi 18 juin 2007
Pierrot ou les secrets de la nuit
Michel Tournier
C'est Colombine. Sa vie, son visage et son existence sont divisés… elle doit choisir. Les journées sont les pièces d'un puzzle coloré et les nuits, soupirent des mots à l'oreille de la jeune fille.
Le matin ou la nuit? Le jeu ou la mélancolie? Le couleur ou les mots? Un jeu des mots? Non, un jeu de vie. La tristesse et la solitude de Colombine. Où sont ses oiseaux et ses fleurs?
Elle doit choisir et ne sera plus elle-même.
Elle dira –Bonjour! Je suis femme arlequin. Je ne suis plus Colombine!
Ou bien –Bonsoir! Je suis dame Pierrot et Colombine n'est plus mon prénom!
Pourquoi ne peut pas elle être seulement Colombine? Parce qu'elle est la page blanche où l'amour veut se concrétiser. Quelquefois, elle doit choisir et elle disparaîtra au matin ou pendant la nuit.
Antonieta Martínez Guerrero
Michel Tournier
C'est Colombine. Sa vie, son visage et son existence sont divisés… elle doit choisir. Les journées sont les pièces d'un puzzle coloré et les nuits, soupirent des mots à l'oreille de la jeune fille.
Le matin ou la nuit? Le jeu ou la mélancolie? Le couleur ou les mots? Un jeu des mots? Non, un jeu de vie. La tristesse et la solitude de Colombine. Où sont ses oiseaux et ses fleurs?
Elle doit choisir et ne sera plus elle-même.
Elle dira –Bonjour! Je suis femme arlequin. Je ne suis plus Colombine!
Ou bien –Bonsoir! Je suis dame Pierrot et Colombine n'est plus mon prénom!
Pourquoi ne peut pas elle être seulement Colombine? Parce qu'elle est la page blanche où l'amour veut se concrétiser. Quelquefois, elle doit choisir et elle disparaîtra au matin ou pendant la nuit.
Antonieta Martínez Guerrero
dimanche 17 juin 2007
« Arlequin et Colombine !
« Arlequin et Colombine !
Ce dessin représente le moment où colombine convive et l´arlequin sont ensemble.
Cette étape me semble transcendantale dans l´histoire parce qu´il montre un changement de la vie de Colombine.
Je crois que c´est un partie de la folie et couleur est harmonisés métaphoriquement. Dans cette étape le livre attrape le lecteur avec la trame jusqu´à l´extrémité pour laisser voir une image claire à nos yeux.
J´ai considère que le fin du livre être plus importante que mon actuel schéma, mais beaucoup de fois on pense au début et comme d´habitude ne est pas la meilleure partie au contenu.
Par rapport à le contenir du livre je crois que c´est une histoire pour imaginer et penser en vie et des changes. On ne sait pas quand est-ce que on va changer d´opinion et décider autre option de la vie que est représente par les étoilés et la lune.
Finalement, j´ai considère que le schéma est plus coloré avec l´arlequin.
Ce dessin représente le moment où colombine convive et l´arlequin sont ensemble.
Cette étape me semble transcendantale dans l´histoire parce qu´il montre un changement de la vie de Colombine.
Je crois que c´est un partie de la folie et couleur est harmonisés métaphoriquement. Dans cette étape le livre attrape le lecteur avec la trame jusqu´à l´extrémité pour laisser voir une image claire à nos yeux.
J´ai considère que le fin du livre être plus importante que mon actuel schéma, mais beaucoup de fois on pense au début et comme d´habitude ne est pas la meilleure partie au contenu.
Par rapport à le contenir du livre je crois que c´est une histoire pour imaginer et penser en vie et des changes. On ne sait pas quand est-ce que on va changer d´opinion et décider autre option de la vie que est représente par les étoilés et la lune.
Finalement, j´ai considère que le schéma est plus coloré avec l´arlequin.
Un Dessin, une Histoire…
Pierrot, Colombine et Arlequin
Pour: Luis Fernando Díaz Avalos
L´Histoire que chante la mère au petit enfant est la même qui je fais sur ce papier. La Lune regarde toute la nuit le travail de Pierrot le boulanger qui fait pâte pendant que pleure plus et plus, la couleur bleu et noir enveloppe . Pierrot se souvient quand il avait regardé par la fenêtre et voyait la blanchisserie de Colombine, ils ne se sours jamais les sentiments qui sortaient de leurs coeurs, mais le toxique et trompeur amour est arrivé un jour avec le arc-en-ciel qui est tombé et a frappé á la porte de Colomobine : « il y avait lá toutes les couleurs – jaune, vert, bleu, violet, orangé-, plus quelques autres encore , mais aucun losange n´etait blanc ni noir » il etait Arlequin. Le Soleil etait le seule qui regardait les toits de la ville les méchantes intentions de Arlequin qui a parlé, menti et a ébloui la blanchisseuse. La Lune et le Soleil pleurent et voient partir les nouveaux amants ; Pierrot ouvre les yeux, il pense à Colombine, il y a quelque chose qui n´ est plus lá, oú es-tu Colombine ? se demande il, mais il n´ y a pas réponse. Cette nuit il a écrit la plus triste lettre qui jamais avaient fait : « Colombine ! Ne m´abandonne pas ! Ne te laisse pas séduire par les couleurs chimiques et superficielles d´Arlequin ! (...) Je t´aime et je t´attends, Pierrot. », la signature est faite avec peines.
La mère chante cette histoire, que enfants écoutent chaque nuit et aussi chantent avec leur mère : « Au clair de la lune, Mon ami Pierrot !, Prête-moi ta plume, Pour écrire un mot. Ma chandelle est morte, Je nái plus de feu. Ouvre-moi ta porte, Pour l´amour de Dieu ! »
Pierrot, Colombine et Arlequin
Pour: Luis Fernando Díaz Avalos
L´Histoire que chante la mère au petit enfant est la même qui je fais sur ce papier. La Lune regarde toute la nuit le travail de Pierrot le boulanger qui fait pâte pendant que pleure plus et plus, la couleur bleu et noir enveloppe . Pierrot se souvient quand il avait regardé par la fenêtre et voyait la blanchisserie de Colombine, ils ne se sours jamais les sentiments qui sortaient de leurs coeurs, mais le toxique et trompeur amour est arrivé un jour avec le arc-en-ciel qui est tombé et a frappé á la porte de Colomobine : « il y avait lá toutes les couleurs – jaune, vert, bleu, violet, orangé-, plus quelques autres encore , mais aucun losange n´etait blanc ni noir » il etait Arlequin. Le Soleil etait le seule qui regardait les toits de la ville les méchantes intentions de Arlequin qui a parlé, menti et a ébloui la blanchisseuse. La Lune et le Soleil pleurent et voient partir les nouveaux amants ; Pierrot ouvre les yeux, il pense à Colombine, il y a quelque chose qui n´ est plus lá, oú es-tu Colombine ? se demande il, mais il n´ y a pas réponse. Cette nuit il a écrit la plus triste lettre qui jamais avaient fait : « Colombine ! Ne m´abandonne pas ! Ne te laisse pas séduire par les couleurs chimiques et superficielles d´Arlequin ! (...) Je t´aime et je t´attends, Pierrot. », la signature est faite avec peines.
La mère chante cette histoire, que enfants écoutent chaque nuit et aussi chantent avec leur mère : « Au clair de la lune, Mon ami Pierrot !, Prête-moi ta plume, Pour écrire un mot. Ma chandelle est morte, Je nái plus de feu. Ouvre-moi ta porte, Pour l´amour de Dieu ! »
mercredi 13 juin 2007
La magie des couleurs
Arlen Hernández Díaz
Mon dessin représente la sequense du conte quand Colombine arrive chez Pierrot. Elle rentre dans les fournil de Pierrot aprés avoir tout quitté pour partir avec Arlequin. Aprés que Colombine soit avec Arlequin, elle réalise que rien n’est comme elle l’avait imaginé et jusqu’au moment où elle trouve une lettre que Pierrot a ecrite. Dans la lettre il lui dit qu’il l’aime et que ses nuits ne sont pas noires ni menaçantes mais bleues et dorées grâce au feu de son four.
Colombine découvre que Pierrot l’aime et que ses nuits ont de jolies couleurs, elle décide de retourner à Pouldreuzic pour voir les couleurs, le feu et Pierrot. Quand Colombine entre chez Pierrot il est assied par terre, “tapi dans un coin”, et très triste, il s’aperçoit que Colombine lui sourit.
Sur mon dessin Colombine regarde le feu parce que dans le conte on dit que ça c’est la première chose qu’elle a regardé quand elle est entrée dans le fournil. Elle est hypnotisée par le feu parce qu’elle se souvient de ce que Pierrot lui a decrit dans la lettre. J’ai dessiné la robe de Colombine avec des couleurs peu brillantes et décolorées parce que le conte dit qu’ ells se ont effacées à cause de la peinture superficielle avec la quelle Arlequin les a peintes.
Les couleurs, bleue et doré aussi sont très importantes dans mon dessin que dans le conte, c’est grâce à elles que Colombine et Pierrot se retrouvent. C’est pour cela que la lune et le feu sont deux figures importantes dans mon dessin parce qu’ils representent les deux couleurs qui rendent la nuit de Pierrot si spéciale et qui ont changé la perception que Colombine avait de la nuit.
lundi 11 juin 2007
Fernanda Morales de la Cerda
Pierrot et Colombine sont amis d´enfance, leur amitié est devénue presque de l´amour. Pierrot aime Colombine, mais elle n´aime plus la nuit ni á Pierrot. Elle est fatiguée, ils se separent de tour en tour. Elle aperçoit qu´ils n´ont pas les mêmes goûts, et finalment la nuit les a separé.
C´est pour ça qu´elle a decidé quitter son village pour essayer une nouvelle vie avec Arlequin qui est trés coloré á l´extérieur, mais finalmente Colombine découvrit sa vrai identité et aussi son côté obscure.
Le pauvre Pierrot ne comprend pas pourquoi est qu´elle est partie. Il pensait toujours a Colombine et c´est pour ça qu´il exprime sa façon de voir la nuit et la vie dans une lettre qu´il lui a envoyé. D´une maniére profonde et significative, Pierrot explique a Colombine tous les coleurs de la nuit et sa beauté incroyable.
Finalment Colombine est rentrée á son ville por chercher Pierrot, mais elle etait en compagnie d´Arlequin alors ils vont partager une “Colombine briocheé” signification de que peut être ils puissent vivre heureux les trois ensemble.
vendredi 8 juin 2007
Dans ce paysage glacé
Elle marche, marche, marche, la petite Colombine-Arlequine dont la robe a perdu ses brillantes couleurs sans être redevenue blanche pour autant. Elle fuit dans la neige qui fait un doux frou-frou froissé sous ses pieds et frôle ses oreilles: fuite-frou-fuite-frou-fuite-frou... Bientôt elle voit dans sa tête une quantité des mots en F qui se rasemblent en une sombre armée, des mots méchants: froid, fer, faim, folie, fantôme, faiblesse. Elle va tomber par terre, la pauvre Colombine, mais heureusement un essaim de mots en F également, des mots fraternels, vient à son secours, comme envoyés par Pierrot: fumée, force, fleur, feu, farine, fournil, flambée, festin, féerie...
CELE 401. Oscar Lugo de la Fuente
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